Hexamitose ou maladie du trou
2 participants
Chti-Aquarium :: LA VIE DANS NOS AQUARIUMS EAU DOUCE :: Tout ce qui touche à l'eau douce :: Maladies :: Problémes et fiches maladie
Page 1 sur 1
Hexamitose ou maladie du trou
Elle est du a une prolifération de protozoaires ciliés (plusieurs variétés qui réagissent différemment au médicament usuel).
Ces petites bestiole sont très souvent présentent dans l’organisme des poissons (avec une prédilection pour les cichlidés) mais ne se développe que si le porteur est affaiblit, souvent pour plusieurs raison possible.
Carence alimentaire (manque de variété dans la nourriture, manque de vitamine)
Qualité physico-chimique de l’eau.
Source de stress varié (problème de cohabitation d’espèces ou manipulation intempestive de l’aquariophile)
Cette maladie, connu sous le nom d’EXamita ce développe de plusieurs manières et il arrive parfois que l’on ne se rende pas conte de certaine phase.
La première se situe au niveau du tube digestif et du fait des signes externe, est souvent confondu avec une infection par des vers intestinaux car elle se manifeste par des excréments blancs gélatineux. Dans ce cas, la seul méthode sur pour faire la différence entre vers et protozoaire est l’examens des défections avec un microscope ou une simple loupe binoculaire. Si c’est des vers, ils sont très facilement identifiable. Si ont ne vois pas de vers, ont peut supposer deux autres hypothèses, problème bactériens/ viral (comme pour nous avec les gastrite) ou protozoaires (dans le cas d’une forte infection, avec un gros grossissement on peut voire les plus grandes représentent (protopalinas)).
- pour faire un examens des excréments, il faut récupérer le dit excrément « sur le poisson » car si on le ramasse sur le sol, bien souvent les vers ce sont fait la male et plaint de bactéries ci sont développées, faussent complètement les résultas de l’analyse.
Il arrive, sur des poissons de bonne taille, que cette phase intestinale ne ce voie pas ou qu’elle s’arrêt toutes seul, mais bien souvent la maladie continue sournoisement et les protozoaire ce déplace dans les tissus musculaire, pouvant faire croire a une guérison.
Les seules symptômes a ce stade peuvent être uniquement comportementale ( poisson craintif ou sombre ,manque d’appétit ou début d’amaigrissement , comme a chaque fois qu’un poisson style discus ne ce sent pas très bien (peut importe d’ailleurs la maladie))
La troisième étape ce passe au niveau du système nerveux du poisson.
A ce niveau, les symptômes externe sont soit des excroissances blanches qui sortent de la tête du poisson (sur le front et au dessus des yeux mais jamais sur le reste du corps (dans ce cas il s’agit très souvent de surinfection lié a une plaie parfois provoqué par un parasite sous cutané), soit de trous (au début, pas plus gros que les trous que l’on peut assimilé au narine d’un discus ( je prend souvent l’exemple du discus car c’est un poisson relativement gros que l’on prend beaucoup de temps a observer et qui est relativement sensible a cette maladie), et qui peut évoluer en véritable crevasses de plusieurs millimètres de long et de profondeur.
A ce niveau, la maladie est bien installée et souvent fatale pour les petits poissons mais pas irrémédiable pour les plus gros.
La maladie se diffuse de maniere plus rapide quant un poisson mange sur le sol et avale une partie d’excrément d’un poisson malade, d’où l’intérêt d’une cuve nue ou l’on peut siphonner les déchets facilement (de plus il est plus facile de voire sur le sol un excrément blanc que dans un bac planté, mais ce si est un autre débat).
Quel que soit la situation, il y a des choses à faire (qui sont valable pour tous les poissons)
Maintenir les poissons dans les limites de tolérance de l’animal. (On ne tient pas à long terme un poisson du Malawi dans de l’eau osmosée ou un rami avec une dureté de 35).
Adapter le régime alimentaire aux besoin du poisson (mélange carné et végétal)
Aménagement du bac en accord avec les habitudes comportementale du poisson (caches, racine, végétation ou nombre de poisson (pour les poipoi grégaires))
Changement d’eau régulier pour limiter les accumulations de pollution (nitrate et autre)
Si on respecte ces principes de maintenance, les maladies seront plus rares.
Ces petites bestiole sont très souvent présentent dans l’organisme des poissons (avec une prédilection pour les cichlidés) mais ne se développe que si le porteur est affaiblit, souvent pour plusieurs raison possible.
Carence alimentaire (manque de variété dans la nourriture, manque de vitamine)
Qualité physico-chimique de l’eau.
Source de stress varié (problème de cohabitation d’espèces ou manipulation intempestive de l’aquariophile)
Cette maladie, connu sous le nom d’EXamita ce développe de plusieurs manières et il arrive parfois que l’on ne se rende pas conte de certaine phase.
La première se situe au niveau du tube digestif et du fait des signes externe, est souvent confondu avec une infection par des vers intestinaux car elle se manifeste par des excréments blancs gélatineux. Dans ce cas, la seul méthode sur pour faire la différence entre vers et protozoaire est l’examens des défections avec un microscope ou une simple loupe binoculaire. Si c’est des vers, ils sont très facilement identifiable. Si ont ne vois pas de vers, ont peut supposer deux autres hypothèses, problème bactériens/ viral (comme pour nous avec les gastrite) ou protozoaires (dans le cas d’une forte infection, avec un gros grossissement on peut voire les plus grandes représentent (protopalinas)).
- pour faire un examens des excréments, il faut récupérer le dit excrément « sur le poisson » car si on le ramasse sur le sol, bien souvent les vers ce sont fait la male et plaint de bactéries ci sont développées, faussent complètement les résultas de l’analyse.
Il arrive, sur des poissons de bonne taille, que cette phase intestinale ne ce voie pas ou qu’elle s’arrêt toutes seul, mais bien souvent la maladie continue sournoisement et les protozoaire ce déplace dans les tissus musculaire, pouvant faire croire a une guérison.
Les seules symptômes a ce stade peuvent être uniquement comportementale ( poisson craintif ou sombre ,manque d’appétit ou début d’amaigrissement , comme a chaque fois qu’un poisson style discus ne ce sent pas très bien (peut importe d’ailleurs la maladie))
La troisième étape ce passe au niveau du système nerveux du poisson.
A ce niveau, les symptômes externe sont soit des excroissances blanches qui sortent de la tête du poisson (sur le front et au dessus des yeux mais jamais sur le reste du corps (dans ce cas il s’agit très souvent de surinfection lié a une plaie parfois provoqué par un parasite sous cutané), soit de trous (au début, pas plus gros que les trous que l’on peut assimilé au narine d’un discus ( je prend souvent l’exemple du discus car c’est un poisson relativement gros que l’on prend beaucoup de temps a observer et qui est relativement sensible a cette maladie), et qui peut évoluer en véritable crevasses de plusieurs millimètres de long et de profondeur.
A ce niveau, la maladie est bien installée et souvent fatale pour les petits poissons mais pas irrémédiable pour les plus gros.
La maladie se diffuse de maniere plus rapide quant un poisson mange sur le sol et avale une partie d’excrément d’un poisson malade, d’où l’intérêt d’une cuve nue ou l’on peut siphonner les déchets facilement (de plus il est plus facile de voire sur le sol un excrément blanc que dans un bac planté, mais ce si est un autre débat).
Quel que soit la situation, il y a des choses à faire (qui sont valable pour tous les poissons)
Maintenir les poissons dans les limites de tolérance de l’animal. (On ne tient pas à long terme un poisson du Malawi dans de l’eau osmosée ou un rami avec une dureté de 35).
Adapter le régime alimentaire aux besoin du poisson (mélange carné et végétal)
Aménagement du bac en accord avec les habitudes comportementale du poisson (caches, racine, végétation ou nombre de poisson (pour les poipoi grégaires))
Changement d’eau régulier pour limiter les accumulations de pollution (nitrate et autre)
Si on respecte ces principes de maintenance, les maladies seront plus rares.
Dernière édition par mantagte le Ven 19 Sep - 1:28, édité 4 fois
Re: Hexamitose ou maladie du trou
bien rudy tu va en avoir de l'experience dans les maladies si j'ai des soucis je vient de voir
sympa les futures details
sympa les futures details
LOLO- membre d or
- Nombre de messages : 3947
Age : 54
Localisation : hem59
Emploi/loisirs : formateur agent cynophile
Humeur : penible
Date d'inscription : 15/03/2008
Re: Hexamitose ou maladie du trou
bon il y aurait deux traitement possible
_Métronidazole (Flagyl) 1g / 100 l
_ou esha examita ancien esha ex
a suivre
_Métronidazole (Flagyl) 1g / 100 l
_ou esha examita ancien esha ex
a suivre
Re: Hexamitose ou maladie du trou
bon pour le moment je suis le traitement avec esha examita
suivant dossage fournisseur je vous tiens au courant
suivant dossage fournisseur je vous tiens au courant
Re: Hexamitose ou maladie du trou
tes repartis dans des traitements
LOLO- membre d or
- Nombre de messages : 3947
Age : 54
Localisation : hem59
Emploi/loisirs : formateur agent cynophile
Humeur : penible
Date d'inscription : 15/03/2008
Re: Hexamitose ou maladie du trou
la c est une certitude j ai perdu encore pusieur poisson dans le meme bac et le bac ni est pour rien et tous les symptome sont la et de vue auussi et c est pas beau a voir
Re: Hexamitose ou maladie du trou
ta pas de chance sa vas te couter cher c'est maladie
LOLO- membre d or
- Nombre de messages : 3947
Age : 54
Localisation : hem59
Emploi/loisirs : formateur agent cynophile
Humeur : penible
Date d'inscription : 15/03/2008
Sujets similaires
» maladie! dejections blanches
» fiche maladie
» aide sur une maladie
» maladie urgent
» maladie /traitement
» fiche maladie
» aide sur une maladie
» maladie urgent
» maladie /traitement
Chti-Aquarium :: LA VIE DANS NOS AQUARIUMS EAU DOUCE :: Tout ce qui touche à l'eau douce :: Maladies :: Problémes et fiches maladie
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum